Pour chacune des affirmations suivantes, vous entourerez V pour « vrai », F pour « faux » et NSP pour « ne sait pas ». Si votre réponse est V ou F vous avez 1 si elle est vraie ou – 1 si elle est fausse. Si votre réponse est NSP, vous avez 0. Si vous ne répondez pas, c’est - 1.
1. Aristodème raconte à un groupe de riches hommes d’affaires le banquet qui a suivi la fête chez Agathon pour fêter sa victoire avec Socrate, Alcibiade et d’autres que lui a raconté Apollodore.
V – F – NSP
2. Socrate arrive chez Agathon vêtu et chaussé comme d’habitude. Il reste seul à méditer tandis qu’Aristodème entre sans lui et se voit finalement invité par Agathon.
V – F – NSP
3. Socrate approuve la proposition d’Eryximaque de suivre la volonté de Phèdre de Myrrhinonte de faire l’éloge d’Éros parce qu’il est ignorant en tout même en ce qui concerne les choses de l’amour.
V – F – NSP
4. Selon Phèdre, Éros donne les plus grands biens aux hommes car il est le Dieu le plus ancien. Il donne vaillance aux hommes mais aussi aux femmes comme Alceste.
V – F – NSP
5. La honte de l’action laide et la recherche de l’honneur sont, selon Phèdre, ce qui fait la valeur politique de l’amour. Il pourrait faire une armée invincible d’amants et d’aimés.
V – F – NSP
6. Pour Pausanias, l’Éros vulgaire consiste à aimer indifféremment homme ou femme et à ne rechercher aucune qualité chez l’être aimé parce qu’il suit l’Aphrodite la plus jeune qui procède du mâle et de la femelle.
V – F – NSP
7. Pausanias soutient qu’aucune action n’est bonne ou mauvaise en elle-même mais seulement selon la façon de la mener. La valorisation et les réticences concernant l’amour homosexuel à Athènes qui contraste avec son refus à Sparte et son acceptation chez les barbares le montrent.
V – F – NSP
8. Eryximaque fait son discours après Pausanias car Aristophane a le hoquet. Pour Eryximaque, l’amour gouverne tout : médecine, gymnastique, agriculture, musique, composition lyrique, éducation, art culinaire, astronomie, divination.
V – F – NSP
9. Aristophane, dont le hoquet est guéri, propose un discours dans la continuité des deux précédents.
V – F – NSP
10. À l’origine selon Aristophane, les hommes étaient : mâle, femelle et androgyne ; le premier à cause du Soleil, la seconde de la Terre et le troisième de la Lune.
V – F – NSP
11. Après avoir été coupé(e) en deux par les Dieux, chaque homme ou femme cherche sa moitié, homme ou femme : c’est l’amour ; il vise à retrouver l’unité perdue. La sexualité est inventée par les Dieux pour que les humains puissent se reproduire ou être rassasiés.
V – F – NSP
12. Pour Aristophane, l’amour entre femmes ou l’amour entre hommes et femmes est sur un pied d’égalité avec l’amour entre hommes.
V – F – NSP
13. Agathon soutient que le véritable éloge doit consister à énoncer ce qu’est le Dieu avant d’énoncer les biens qu’il procure : ce qu’il réalise dans le plan de son discours.
V – F – NSP
14. Agathon soutient qu’Éros, Dieu heureux et beau, est jeune. Il a toutes les qualités et toutes les vertus cardinales (modération, justice, courage, piété). Il est donc la source des plus grands biens pour les hommes.
V – F – NSP
15. Socrate montre à Agathon qu’Éros en tant que désir est manque et donc ne peut être beau et bon pour être amour du beau et du bon.
V – F – NSP
16. Pour Diotime, Éros est un démon et non un dieu. Fils de Poros et de Pénia, qui a les qualités de son père et les manques de sa mère ; il est aussi philosophe, c’est-à-dire un intermédiaire entre les ignorants et ceux qui savent.
V – F – NSP
17. Pour Diotime, l’amour, ce désir spécial qui consiste en un accouchement à terme ou dans la beauté, forme d’immortalité pour les mortels, consiste à aller d’un beau corps à deux puis à tous les beaux corps, des belles occupations aux belles connaissances jusqu’à la science du beau qui permet la vertu véritable.
V – F – NSP
18. Socrate ressemble aux Silènes ou au satyre Marsyas selon Alcibiade : il est laid à l’extérieur et beau à l’intérieur et charme par ses discours : ainsi, le lecteur doit comprendre qu’il ressemble à Éros.
V – F – NSP
19. Alcibiade montre dans son éloge que Socrate a toutes les vertus, notamment le courage à la guerre.
V – F – NSP
20. Après l’éloge de Socrate par Alcibiade, une nouvelle bande de buveurs arrive. Aristodème s’endort : il entend à son réveil Socrate démontrer à Agathon et Aristophane que c’est le même art qui permet de faire des tragédies et des comédies.
V – F – NSP
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire