lundi 29 juin 2015

Auguste Comte, biographie

Isidore-Auguste-Marie-François-Xavier Comte est né le 19 janvier 1798 à Montpellier. Il est le fils de Rosalie Boyer (1764-1837), fille d’un négociant, qui avait 12 ans de plus que son mari, Louis-Auguste Comte (1776-1859), « contrôleur » de la Recette générale de l’Hérault. Ses parents sont monarchistes et catholiques (cf. Préface du dernier volume du Cours de philosophie positive). Il a eu une sœur, Alix et un frère, Adolphe, qui fera des études de médecine, inachevées, et qui mourra aux colonies, en Martinique.
En 1806, le jeune Isidore-Auguste entre au lycée à Montpellier comme interne. Il supporte difficilement la discipline militaire. Il est brillant mais indiscipliné.
En 1812, il perd la foi catholique. Il étudie les sciences sous la direction de Daniel Encontre (1762-1818) qui était professeur de mathématiques transcendantes et deviendra doyen de la Faculté de théologie protestante de Montauban en 1816. Il est prêt à entrer à l’école polytechnique à la fin de l’année. Trop jeune, il est doit attendre.
Le 6 avril 1814, Louis XVIII (1755-1814-1815-1824) devient roi de France suite à l’abdication de Napoléon 1er (1769-1821) : la défaite de la France permet la Restauration monarchiste. Auguste Comte est reçu au concours de l’école polytechnique en août 1814. Il est admis 4ème sur la liste principale derrière trois parisiens. L’école polytechnique a comme enseignants des scientifiques de renom comme les mathématiciens Louis Poinsot (1777-1859) et François Arago (1786-1853), le chimiste Louis Thénard (1777-1857), les physiciens Alexis Petit (1791-1820) et Siméon Denis Poisson (1781-1840). Comte, lycéen indiscipliné, a également un comportement répréhensible à Polytechnique.
Le 20 mars 1815, Louis XVIII fuit devant le retour de Napoléon. Le 27 mars 1815, les polytechniciens sont aux Tuileries lors de la revue des troupes par Napoléon. Le 28 avril, l’empereur visite l’école. Le 18 juin, c’est Waterloo. Paris apprend la nouvelle de la défaite le 20. Les membres de l’école sont prêts à défendre Paris. Mais le 30, c’est la capitulation. Louis XVIII revient une seconde fois dans les fourgons des alliés qui vont imposer de dures conditions de paix à la France.
En avril 1816, Auguste Comte est exclu de l’École polytechnique en même temps que toute sa promotion. Le motif en est la contestation des élèves relative à un de leurs répétiteurs. La réalité est que l’école polytechnique passe à juste titre pour un foyer républicain ou bonapartiste dont se débarrassent les autorités. Auguste Comte rentre à Montpellier. Il y rédige son premier écrit connu : Mes réflexions. Humanité, vérité, justice, liberté, patrie. Rapprochements entre le régime de 1793 et celui de 1816 adressés au peuple français par Comte, ex-élève de l’école polytechnique. Dès septembre, il est de retour à Paris. Il continue sa formation, seul et vit de leçon de mathématiques. Le général Jacques David Martin de Campredon (1761-1837), général de la Révolution et de l’Empire mais surtout montpelliérain, auquel il se présente au général-baron Simon Bernard (1779-1839), lui aussi général de la Révolution et de l’Empire. Ce dernier a pour projet de faire une école polytechnique aux États-Unis. Comte est enthousiasmé par le projet qui n’aura pas de suite faute de crédits.
Il rencontre le comte Henri de Saint-Simon (1760-1825) avec qui il travaille à partir d’août 1817. Ce dernier le prend comme secrétaire pour 300 francs par mois (un répétiteur à Polytechnique en gagnait 2000 par an). Rapidement, il devient son collaborateur. Il participe au troisième volume de l’Industrie de Saint Simon. Il traduit de l’anglais l’Analyse géométrique de John Leslie (1766-1832), professeur de mathématiques à l’université d’Edimbourg à la demande de Jean Nicolas Pierre Hachette (1769-1834), mathématicien et ancien professeur à l’école polytechnique.
En 1818, voire l’année suivante, il adopte le prénom Auguste. Il collabore au Politique de Saint Simon. Il écrit Essais sur quelques points de la philosophie des mathématiques.
En 1819, il rédige la « Séparation générale entre les opinions et les désirs ». L’article paraît dans le Censeur européen, une publication libérale qui publiait Saint Simon. Dans une lettre à son ami Pierre Valat du 24 septembre, il critique la possibilité de l’introspection au nom de l’impossibilité de diviser l’esprit en observateur et en observé, thème fondamental qui oriente sa philosophie vers l’étude des réalisations effectives, positives de l’esprit humain pour le connaître, à savoir les sciences avec leur histoire, la société, avec ses créations collectives.
En 1820, il rédige la « Sommaire appréciation de l’ensemble du passé moderne ». L’article paraît dans l’Organisateur de Saint Simon. Le 14 février, le duc de Berry, héritier du trône après le duc d’Artois, le futur Charles X, est assassiné. En avril, Saint-Simon lance Le Système industriel.
En 1821, il rencontre une ouvrière âgée de dix-neuf ans, Caroline Massin (1802-1877). Selon son témoignage ultérieur qu’on trouve dans son Testament, elle se livrait alors à la prostitution.
En avril 1822, il publie le « Prospectus des travaux scientifiques nécessaires pour réorganiser la société » pour Le Système industriel de Saint-Simon. C’est l’année où l’École normale supérieure, autre foyer anti monarchiste est fermée. Augustin Cournot (1801-1877) qui y était entré l’année précédente continue ses études à la Sorbonne.
Comte publie le Plan des travaux scientifiques nécessaires pour réorganiser la société retouché et reprend le Prospectus de 1822 sous le titre de « Système de politique positive », tome 1er, première partie en avril 1824. En mai, Comte rompt avec Saint Simon. Dans une lettre datée du 1er mai à son élève Gustave d’Eichthal (1804-1886), il estime que cela fait cinq ans qu’il ne lui doit plus rien sur le plan intellectuel. Le 16 septembre, Louis XVIII meurt, son frère, sous le nom de Charles X (1757-1824-1830-1836) lui succède.
En 1825, il épouse Caroline Massin. À la fin de l’année, il publie les « Considérations philosophiques sur les sciences et les savants » dans les numéros 7, 8 et 10 du Producteur.
Début 1826, il publie les « Considérations sur le pouvoir spirituel » dans les numéros 13, 20 et 21 du Producteur. Dans une lettre à Blainville du 27 février, il explique avoir une seule pensée, mettre la science au service de la réorganisation de la société. Il commence à donner des cours sur la philosophie positive le 2 avril. Il a comme auditeurs : le biologiste Henri-Maire Ducrotay de Blainville (1777-1850), le naturaliste Alexandre de Humboldt (1769-1859), l’économiste Charles Dunoyer (1786-1862), etc. Mais, Auguste Comte est victime d’une crise de folie qui lui fait interrompre le cours après la troisième leçon. Il tente de marcher sur l’eau. Le surmenage, les difficultés financières et conjugales peuvent l’expliquer. C’est son épouse qui se charge de le faire soigner. Il passe ainsi sept mois à la clinique du docteur Esquirol (1772-1840). Il en sort à la demande de sa femme. Esquirol le considère non guéri. Un prête l’attend chez lui sur la demande de sa mère pour qu’il se marie religieusement. Il signe « Brutus Bonaparte Comte » l’acte de mariage.
En avril 1827, Comte se jette dans la Seine du haut du pont des arts. Un garde royal le sauve de justesse. Il part pour Montpellier puis revient à Paris où il peut reprendre ses activités intellectuelles.
En 1828, François Broussais (1872-1838) publie De L’irritation et de la folie, ouvrage dans lequel les rapports du physique et du moral sont établis sur les bases de la médecine physiologique. En août, Auguste Comte rédige un « Examen du traité de Broussais : de l’irritation et de la folie » dans Le Journal de Paris. Il y mentionne la crise qu’il a subie.
Le 4 janvier 1829, Auguste Comte reprend son Cours de philosophie positive à son nouveau domicile, rue Saint Jacques. Esquirol fait partie des auditeurs. En novembre, la Revue encyclopédique publie le « Discours d’ouverture du cours de philosophie positive ». Le 9 décembre, c’est devant un large public qu’il présente son cours de philosophie positive à l’Athénée.
En juillet 1830, il commence la publication de son Cours de Philosophie positive avec un premier tome contenant les préliminaires généraux et la philosophie mathématique, qui va de la 1ère leçon à la 18ème leçon. Les 27, 28 et 29 juillet, ce sont les Trois Glorieuses qui amènent la chute de Charles X qui part en exil. Comte parlera de « la mémorable secousse de 1830 » (Cours de philosophie positive, tome 4, première partie, Paris, Bachelier, 1839, p.31). Louis-Philippe d’Orléans (1773-1830-1848-1850) devient roi des Français. En décembre, il est un des membres fondateurs de l’Association polytechnique pour l’instruction populaire. Il propose de faire un cours d’astronomie pour les ouvriers parisiens. Il le donne à la mairie du IIIème arrondissement durant dix-huit ans.
En 1832, il est candidat à une chaire d’enseignement à l’école polytechnique, il échoue contre Henri Navier (1785-1836). Il devient répétiteur d’analyse et de mécanique rationnelle grâce à ce dernier.
En 1835 paraît le tome 2 du Cours de Philosophie positive contenant la philosophie astronomique et la philosophie de la physique, qui va de la 19ème leçon jusqu’à la 34ème leçon.
En 1836, Victor Cousin (1792-1867) publie Du Vrai, du Beau et du Bien, qui reprend son cours de 1818, texte fondamental de l’éclectisme. Alfred de Musset publie sa Confession d’un enfant du siècle où il expose le « mal du siècle » : « Un sentiment de malaise inexprimable commença alors à fermenter dans tous les cœurs jeunes. Condamnés au repos par les souverains du monde, livrés aux cuistres de toute espèce, à l’oisiveté et à l’ennui, les jeunes gens voyaient se retirer d’eux les vagues écumantes contre lesquelles ils avaient préparé leurs bras. Tous ces gladiateurs frottés d’huile se sentaient au fond de l’âme une misère insupportable. ». À la mort de Navier, Comte se présente à nouveau pour une chaire de professeur à Polytechnique. C’est un de ses camarades, Jean-Marie Duhamel (1797-1872), qui est choisi en novembre. Comte en attendant son installation, fait une suppléance de deux mois.
En 1837, il devient examinateur d’admission à Polytechnique.
En 1838, Comte publie le tome 3 Cours de Philosophie positive contenant la philosophie chimique et la philosophie biologique qui va de la 35ème leçon à la 45ème leçon. Son Traité élémentaire de géométrie analytique est un succès parmi les candidats à l’École polytechnique.
En 1839, Comte publie le tome 4 du Cours de philosophie positive contenant la philosophie sociale et les conclusions générales. Il va de la 46ème leçon à la 51ème leçon. Le terme sociologie, inventé par Comte, apparaît dans la 47ème leçon en remplacement de celui de physique sociale. Ce tome 4 est en fait la première partie du quatrième volume initialement prévu comme l’indique l’avis de l’éditeur daté du 24 juillet, Comte prévoyant seulement un deuxième volume (édition de 1839, p. V).
En 1840, Émile Littré (1801-1881) lit le Cours de philosophie positive publié jusque là : il est enthousiaste. Comte se présente à nouveau pour la chaire d’analyse à l’école Polytechnique. Il échoue pour la troisième fois face à Charles Sturm (1803-1855).
En 1841, il emménage avec son épouse Caroline, au 10, rue Monsieur-le-Prince, dans un vaste appartement (actuellement Musée Auguste Comte), signe d’une certaine aisance. Sophie Bliaux, sa servante, engagée par Caroline, y restera. Comte la considèrera comme sa fille adoptive. Le 12 novembre commence sa correspondance avec John Stuart Mill (1806-1873) qui l’aidera financièrement (elle s’achèvera par une lettre de Stuart Mill sans réponse du 17 mai 1847). En mars Comte publie le tome 5 du Cours de philosophie positive contenant la partie historique de la philosophie sociale qui va de la 52ème leçon à la 55ème leçon.
En juillet 1842, il achève le Cours de philosophie positive par le tome 6 qui va de la 56ème à la 60ème leçon. Il comprend une « préface personnelle » qui mentionne l’épisode de sa folie. Il y attaque aussi violemment François Arago. Il se sépare définitivement de sa femme, Caroline Massin – le divorce n’existait pas. Il lui verse une pension.
En 1843, John Stuart Mill publie A system of logic (traduit pour la première fois en 1866 sous le titre Système de logique déductive et inductive). En mars, Comte publie un Traité élémentaire de géométrie analytique. Or, les examinateurs à polytechnique ne devaient pas publier d’ouvrages qui pussent servir pour l’examen. En avril, le Conseil de l’école polytechnique chargé d’élire les examinateurs d’admission charge une commission d’examiner le cas d’Auguste Comte. Un rapport favorable de cette commission lui permet d’être désigné examinateur d’examen le 19 mai. Toutefois, un système de roulement implique son remplacement à la fin de l’année en cours.
Au début de 1844, il publie son Traité philosophique d’astronomie populaire qui reprend son cours d’astronomie populaire. Le traité est précédé du Discours sur l’esprit positif. Le 24 mais, le Conseil de l’école polytechnique désigne les nouveaux examinateurs d’examen où ne figure pas Comte. Malgré ses protestations, il ne réussit pas à retrouver son poste. En octobre, il rencontre Clotilde de Vaux (1815-1846). Cet amour le sublime et va le conduire vers la religion de l’humanité. Pendant ce temps, Émile Littré fait campagne pour promouvoir le positivisme dans une série de six articles qui paraissent dans Le National entre le 22 novembre et le 4 décembre.
En 1845, Littré reprend ses articles du National dans un ouvrage intitulé De la philosophie positive. Auguste Comte qui a revu Clotilde de Vaux commence une correspondance avec elle. Elle se refuse à lui quoique son mari l’ait abandonné depuis 1837.
Le 5 avril 1846, Clotilde de Vaux s’éteint dans les bras d’Auguste Comte, victime de la tuberculose.
Le 22 février 1848, la révolution éclate. La deuxième république succède à la monarchie de juillet. Le 25 février, Comte fonde l’Association libre pour l’instruction positive du peuple dans tout l’Occident européen. L’appel est placé sous sa devise : Ordre et progrès. Le 8 mars, il lance un appel : Le fondateur de la Société positiviste à quiconque désire s’y incorporer. Le 12 mars a lieu la première réunion de la Société positiviste au 10, rue Monsieur-le-Prince. Comte commence à rédiger le Système de politique positive ou Traité de sociologie instituant la religion de l’Humanité. Il publie le Discours sur l’ensemble du positivisme. Le 10 décembre, Louis-Napoléon Bonaparte est élu président de la république au suffrage universel masculin avec près de 75% des voix.
En 1849, Comte, en tant que grand prêtre, commence à s’adresser aux grands de ce monde ainsi qu’à ses disciples aux États-Unis et au Brésil. Le 11 mars, Comte ouvre au Palais-Cardinal, un Cours philosophique sur l’histoire générale de l’humanité qui prend le relai du cours d’astronomie populaire. En avril, Comte publie au nom de la Société positiviste le Calendrier positiviste. Littré publie de nouveaux articles en faveur du positivisme dans Le National de juillet à octobre.
En 1850, Auguste Comte arrête ses cours d’astronomie populaire. Toujours dans Le National, Littré publie des articles en faveur de la philosophie positive de juin 1850 à octobre 1851.
En juillet 1851, Auguste Comte commence en juillet la publication du Système de politique positive ou Traité de sociologie instituant la religion de l’Humanité avec le tome premier contenant le Discours préliminaire, et l’Introduction fondamentale. Le Discours préliminaire reprenant le Discours sur l’ensemble du positivisme de 1848. En novembre, il perd son emploi de répétiteur à Polytechnique. Il ne vit plus que des subsides de ses disciples. En décembre, Émile Littré est prêt à publier Conservation, Révolution et positivisme. Le 2 décembre, le président de la République, Louis-Napoléon Bonaparte (1808-1873) commet un coup d’État. Littré renonce à sa publication. Comte proteste mais bientôt, il approuve le nouveau pouvoir. Il qualifie Louis-Napoléon Bonaparte de « dictateur progressif ».
En 1852, Auguste Comte publie le Catéchisme positiviste ou Sommaire exposition de la religion universelle, en onze entretiens systématiques entre une femme et un prêtre de l’Humanité. En mai, il publie le deuxième volume du Système de politique positive ou Traité de sociologie instituant la religion de l’Humanité contenant la statique sociale ou le traité abstrait de l’ordre humain. En août, c’est la rupture avec Littré. Outre les aspects philosophiques, à savoir le tournant religieux et la méthode subjective de Comte, politiques, puisque Comte accueille favorablement le coup d’État du prince Louis Napoléon Bonaparte, les relations amicales de Littré avec la femme d’Auguste Comte, Caroline, qu’il défend lorsque sa pension diminue, participent à la rupture.
En août 1853 paraît le troisième volume du Système de politique positive ou Traité de sociologie instituant la religion de l’Humanité contenant la dynamique sociale ou le traité général du progrès humain (philosophie de l’histoire).
En 1854, le quatrième et dernier volume du Système de politique positive ou Traité de sociologie instituant la religion de l’Humanité contenant le tableau synthétique de l’avenir humain. En appendice, il reprend sous le titre d’Opuscules de philosophie sociale des articles anciens : « Séparation entre les opinions et les désirs » ; « Sommaire appréciations sur l’histoire du passé moderne » ; « Considérations philosophiques sur les sciences et les savants » ; « Considérations sur le pouvoir spirituel » ; « Examen du traité de Broussais : de l’irritation et de la folie ».
En août 1855, Comte publie l’Appel aux Conservateurs. En décembre, il rédige son testament.
En 1856, il publie le tome I de la Synthèse subjective ou Système universel des conceptions propres à l’état normal de l’Humanité. Ce devait être le premier de dix volumes qui auraient présenté une synthèse essentiellement subjective, tournée vers l’homme, du système.
Le 5 septembre 1857, il meurt, laissant derrière lui nombre de projets de livres inachevés.

John Stuart Mill publie en 1865, Auguste Comte and Positivism.
Émile Littré publie Auguste Comte et Stuart Mill en 1866.
En 1868, Georges Clémenceau traduit l’ouvrage de Stuart Mil sur Comte sous le titre, Auguste Comte et le positivisme.
En 1870, sont publiées les Lettres d’Auguste Comte à M. Valat, professeur de mathématiques (1815- 1844).
En 1884 est publié le Testament d’Auguste Comte avec les documents qui s’y rapportent, pièces justificatives, prières quotidiennes, confessions annuelles, correspondance avec Mme de Vaux, édition de l’Exécution testamentaire (2ème édition, 1896).
Lucien Lévy-Bruhl (1857-1939) publie les Lettres inédites de John Stuart Mill à Auguste Comte avec les réponses de Comte en 1899.
Ses exécuteurs testamentaires publient : Lettres d’Auguste Comte à divers, la première partie du tome I : 1850-1857, en janvier 1902 et la deuxième partie en 1904. Le tome II : lettres antérieures à 1850, en 1905. Dans le même temps quatre volumes de la Correspondance inédite d’Auguste Comte sont publiés en 1903-1904.
En 1926, Emile Corra (1848-1934) publie les Lettres d’Auguste Comte au Docteur Robinet et à sa famille, à Paris.
F. Germano Medeiros publie à Sao Paolo en 1927 : Lettres et fragments de lettres.
En 1932, les Lettres inédites à Célestin de Blignières (1823-1905), sont publiées et présentées par Paul Arbousse-Bastide (1899-1985) chez Vrin.
En 1939, Paulo E. de Berredo-Carneiro (1901-1982) publie de Nouvelles lettres inédites, à Paris.


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